🥅 Peut On Ne Pas Croire Dissertation Philo

Rubrique philo-prepas > Dissertations prépas. Aides à la dissertation sous forme d'esquisses . Niveau classes prépas - Colles et Dissertations par J. Llapasset. Le refus de croire. Site Philagora, tous droits réservés _____ Rappelons que nous vous proposons des pistes: vous avez à choisir, à reprendre tel ou tel aspect, en pensant par vous même, sous le regard de tous, en Bonjourà tous. J'ai besoin de votre aide.. J'ai une dissertation de philo à faire. Il faut faire thèse-anti thèse mais je ne trouve pas d'arguments pour "Oui on ne peut croire en fr.soc.alternatives, les salons permanents de la fausse conscience. fr.soc.economie et fr.soc.religion, les salons permanents de la superstition. fr.soc.politique et fr.soc.feminisme, les salons permanents de la posture. Jacques Bouveresse *Peut-on ne pas croire ?* Sur la verite, la croyance et la foi Tout en se disant incroyants, certains intellectuels se posent aujourd'hui en Finalement nous démontrerons qu’aucune croyances ne peut-être le milieu entre l’ignorance et le savoir. Rien de ce qui relève de la croyance ne relève du savoir. La croyance est extérieur à ma raison donc elle constitue le premier obstacle pour accéder au savoir mais elle ne s’oppose pas moins à l’ignorance, qui elle, est une Jene crois pas. Croire en Dieu , au sens le plus fort, revient précisément à entretenir avec le mystère de l’existence un rapport non rationnel, à la fois déraisonnable et Ainsi la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir I Survivre : vivre sans morale. a- Le sens commun : sens et non-sens. Développement des paradoxes. b- Les fondements d'une vie sans morale : attitudes immoralistes et nihilistes. c- Les apories de ces deux attitudes. Transition : L'homme, libre par nature, a en propre cette capacité de choix qui semblerait lui permettre de rejeter toute Danscette perspective, la croyance est l'ennemi principal d'un savoir qui, par définition,doit l'exclure. Il est inutile de croire ce qu'on ne peut pas connaître Certaines choses excèdent nos pouvoirs de connaissance. C'est le cas de l'existence de Dieu ou de la mort. Les hommes ont peur de la mort. Danscette perspective, la croyance est l'ennemi principal d'un savoir qui, par définition,doit l'exclure. Il est inutile de croire ce qu'on ne peut pas connaître Certaines choses excèdent Dansle sens où l'on pourrait douter de tout, il serait donc possible de ne croire en rien. Il apparait donc d'abord que la croyance n'est pas indispensable à l'Homme. Cependant, en élargissant le domaine des croyances, l'Homme est souvent amené à croire et à admettre certaines choses. A travers l'exemple du doute sceptique, certaines Peuton croire sans savoir ? L'analyse Ce sujet est d’abord une contradiction manifeste entre les deux verbes. Il faut donc repérer les modalités de cette contradiction pour essayer de DissertationPhilo Peut On Ne Pas Etre Soi Meme: Allene W. Leflore #1 in Global Rating How to Order Our Online Writing Services. There is nothing easier than using our essay writer service. Here is how everything works at : You fill out an order form. Make sure to provide us with all the details. If you have any comments or additional files, upload them. This will help your writer Leplan de dissertation La dissertation philosophique L'explication de texte Réfléchir Sujets de Dissertation Vocabulaire Racines gréco-latines Chronologie Rédiger un mémoire Rédiger une Lettre Lettre de motivation L'entretien Passer un examen . Sujets de Dissertation . 1 Peut-on ne pas être soi même ? 2 Les rêves ont-ils un sens ? 3 Peut-on désirer être immortel ? 4 Rubrique Aide aux dissertations > Aides réflexion: Philo corrige 1 Philo corrige 2 Philo corrige 3. Peut-on ne pas croire au progrès? Le progrès historique est-il un mythe ou une réalité? Le progrès n'est qu' une façon de changer de malheur? Le progrès de l'Humanité se réduit-il au progrès technique ? Site Philagora, tous droits réservés _____ == Pour la recherche des idées Or la grande majorité des hommes précisément supportent la vie sans se plaindre trop fort, et croient ainsi à la valeur de l’existence, mais c’est justement parce que chacun ne veut et n’affirme que soi et ne sort pas de lui-même comme ces exceptions : tout ce qui dépasse leur propre personne est pour eux inaperçu ou aperçu tout 4rZq. L'analyse du professeur Ce sujet est d’abord une contradiction manifeste entre les deux verbes. Il faut donc repérer les modalités de cette contradiction pour essayer de comprendre en quoi elle est contestable. En ce sens, il apparaît que le savoir est affaire de connaissance alors que la croyance est affaire de sentiment. Les deux sont opposés en ce qu’il désignent donc deux rapports différents à une idée. Mais on peut aussi considérer que leurs définitions ne sont pas si lointaines dans la mesure où le savoir peut être défini comme croyance mobilisant une preuve en supplément Cf. Sujet Faut-il opposer croyance et raison ». Dès lors, le savoir ne s’opposerait pas directement à la croyance mais en dépasserait la nature dogmatique pour parvenir à une forme d’assentiment rationnel. La différence entre croire et savoir se jouerait donc dans le statut de cette preuve supplémentaire. Cependant, à l’inverse, la croyance ne se fait jamais de façon purement arbitraire et semble mobiliser des motifs, c’est-à-dire reposer sur des idées et une forme de savoir qui la provoque. On ne croit pas n’importe quoi mais on croit toujours en fonction de raisons plus ou moins obscures. Bref, le savoir est problématique et risque de rejoindre la croyance si la preuve qu’il mobilise est fragile. À l’inverse, la croyance semble dépendre initialement d’une forme de savoir plus ou moins prouvé qui ne dépend pas du critère exclusif de la raison logique mais peut également s’appuyer sur des convictions sentimentales ou sur des préjugés qui ne sont pas nécessairement dogmatiques qui sont de l’ordre de l’intuition. ... Par Publié le 28/10/2014 à 1630 La croyance est une notion difficile à cerner. Elle fait partie de ce que Bertrand Russel appelait les attitudes propositionnelles, au même titre que les désirs, les souhaits, les regrets. Pour certains, elle est une force capable de déplacer les montagnes. Pour d’autres, la béquille d’une humanité incapable de se tenir debout. Deux auteurs s’attaquent cet automne à cette aventureuse question. Henri Atlan, d’une part, dans un livre éblouissant intitulé modestement Croyances 1. Alexandre Lacroix, d’autre part, dans un livre scrupuleux au titre plus énigmatique Comment vivre lorsqu’on ne croit en rien ? 2. Nous évoquerons aujourd’hui celui-ci, et reviendrons prochainement sur le premier. Ce n’est pas un hasard si le dossier de la croyance remue les philosophes la croyance est humaine. Les animaux n’en savent pas assez, et les dieux en savent trop pour croire. Comme le remarquait Pascal, avec son humour tragique, le désespéré qui va se pendre croit encore à l’amélioration de son état. Et comme le pointait Husserl la thèse du monde est une croyance. Nous avons besoin de croire non pas au monde en général, mais en notre monde, ce monde-ci. Cela est plus difficile dans Alep en ruines que sur les bords du lac de Côme, mais cela ne change pas la donne sur le fond. Dans les deux cas, il faut se lever. Reste, que la thèse de Husserl se complique quand on se demande s’il est possible de croire en rien ? Avant d’aborder cette question qui est au cœur du livre d’Alexandre Lacroix, il faut clarifier un point, concernant la croyance religieuse. Sans pour autant entrer dans des discussions épineuses sur la croyance et la foi. Dans un ouvrage datant de 2007, Peut-on ne pas croire ?, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France à Paris, esprit frappeur, commentateur hors pair, fin lecteur de Wittgenstein 1889-1951, dénonçait avec vigueur la démission des intellectuels 3. Il critiquait leur pusillanimité envers la croyance religieuse et les religions. Il se révoltait contre les pèlerins et convertis de la dernière heure. Il fustigeait la posture héroïque des imprécateurs. Le thème n’était pas nouveau, mais il résonnait à point nommé dans le contexte actuel où la laïcité est malmenée et n’importe quelle forme de transcendance encensée. La liberté de ne pas croire est devenue suspecte. L’incroyant n’a plus droit de cité. Il n’est plus protégé comme il devrait l’être, sa liberté n’est plus assurée a priori ». Pourquoi le projet de juger et d'évaluer les croyances d'un point de vue rationnel est-il devenu aujourd'hui à ce point suspect ? Comment, après Spinoza, Bayle, Condorcet, Renouvier, notre époque a-t-elle accouché de tels sortilèges ? Bouveresse rappelait alors qu’il serait possible, et même nécessaire, de ne pas croire du tout penser, savoir, critiquer peut suffire à la tâche. La croyance est certes une donnée humaine universelle, mais elle n’est pas pour autant universellement acceptable. Cette mise au point faite, on peut passer au rien. La réflexion morale et philosophique d’Alexandre Lacroix ne part pas du tout des mêmes présupposés. Son livre n’est pas une attaque contre la pensée faible, le syncrétisme religieux, ni une mise en garde contre toutes les formes de crédulité. C’est un livre contre tous les chevaliers de l’absolu », les dogmatiques en herbe qui prétendent avoir résolu le problème de la justification de l’existence. C’est un livre qui prend simplement le scepticisme au sérieux. Dans son acceptation la plus classique. Tout en distinguant attitude théorique et attitude pratique, il insiste plutôt sur la seconde. Il rejette le dogmatisme, dans l’ordre de la connaissance ; il remet comme on dit la raison à sa place. Il professe une sorte de vitalisme critique, rejette le souverain bien, se refuse d’assigner un but au bonheur, se laisse guider par la vie. S’appuyant sur des exemples littéraires de choix – Nicolas Bouvier, Jean Genet -, il considère le ballet des apparences comme la seule réalité tangible. Dans une langue souple et aérée, l’auteur cherche une voie. Mais il n’indique pas le chemin à suivre. Reprenant à son compte le questionnement ouvert par les stoïciens et les sceptiques, il situe son propos en partant du constat de notre ignorance radicale », du caractère insondable des moments qui composent notre existence. Ce sont les stoïciens qui ont introduit la notion d’assentiment, elle est essentielle pour comprendre la croyance. Mais le même mot de croyance sert à désigner l’assentiment et ce sur quoi il porte. Dans la lignée de Sextus Empiricus, Lacroix précise donc sa pensée au sujet de ce qui constitue le nerf des querelles antiques la suspension de l’assentiment chère au stoïcisme, reprise différemment par Sextus Empiricus, dont la lecture fut déterminante dans sa trajectoire intellectuelle. Que dit-il ? Ceci La suspension de l’assentiment consiste en une méfiance à l’égard des multiples discours sur le réel, envers les théories, et non envers le réel lui-même dans ses diverses manifestations ». Il est possible en effet de douter d’une théorie, mais il est peu probable de ne pas consentir aux bienfaits de la douceur du miel ou de la beauté de la lumière méditerranéenne. Cette croyance limitée – fille de notre impulsion – constitue la morale de cet ouvrage qui se refuse à endosser la figure de l’éducateur. La critique que fait l’auteur de Foucault – au sujet des arts de l’existence – est sans concession. Non sans raison, il prend ses distances avec l’esthétique de l’existence et son volontarisme sous-jacent. On comprend mieux alors le point d’interrogation du titre. La question comment vivre n’étant pas vraiment une question, il convient – en gros – de prendre les choses comme elles viennent à Paris, Kiev, Alep, Dakar ? C’est une autre histoire. Celle que raconte Alexandre Lacroix a en tout cas de la tenue. 1 Editions Autrement. 18 euros. 2 Flammarion, 170 pages, 17 euros. 3 Jacques Bouveresse, Peut-on ne pas croire ?Sur la vérité, la croyance et la foi, Agone, 2007, 286 pages, 24 euros. Plus d'Agora Votre abonnement nous engage En vous abonnant, vous soutenez le projet de la rédaction de Marianne un journalisme libre, ni partisan, ni pactisant, toujours engagé ; un journalisme à la fois critique et force de proposition. Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne Votre sujet n'est pas dans la liste ? 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Annales 2006 - L’expérience peut-elle démontrer quelque chose ? Annales 2006 - Peut-on juger objectivement la valeur d’une culture ? Annales 2005 - La sensibilité aux oeuvres d’art demande-t-elle à être éduquée ? Annales 2005 - Être libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle ? Terminale L Liste des sujets traités Annales 2009 - Le langage trahit-il la pensée ? Annales 2017 - Tout ce que j’ai le droit de faire est-il juste ? Annales 2009 - L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ? Annales 2008 - Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible ? Annales 2008 - La perception peut-elle s’éduquer ? Annales 2007 - Les oeuvres d’art sont-elles des réalités comme les autres ? Annales 2007 - Toute prise de conscience est-elle libératrice ? Annales 2006 - Cela a-t-il un sens de vouloir échapper au temps ? Annales 2006 - N’avons-nous de devoirs qu’envers autrui ? Annales 2005 - Le langage ne sert-il qu’à communiquer ? Annales 2005 - Le juste et l’injuste ne sont-ils que des conventions ? Terminale SES Liste des sujets traités Annales 2017 - La raison peut-elle rendre raison de tout ? Annales 2009 - Que gagne-t-on à échanger ? Annales 2009 - Le développement technique transforme-t-il les hommes ? Annales 2008- Peut-on désirer sans souffrir ? Annales 2008 - Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? Annales 2007 - Peut-on en finir avec les préjugés ? Annales 2007 - Que gagnons-nous à travailler ? Annales 2006 - Faut-il préférer le bonheur à la vérité ? Annales 2006 - Une culture peut-elle être porteuse de valeurs universelles ? Annales 2005 - L’action politique doit-elle être guidée par la connaissance de l’histoire ? Annales 2005 - Qu’attendons-nous de la technique ? Terminale technologique Liste des sujets traités Annales 2017 - Pour trouver le bonheur, faut-il le rechercher ? Annales 2009 - La technique s’oppose-t-elle à la nature ? Annales 2009 - Peut-on être sûr d’avoir raison ? Annales 2008 - Est-ce à la loi de décider de mon bonheur ? Annales 2008 - Peut-on aimer une oeuvre d’art sans la comprendre ? Annales 2007 - L’art nous éloigne-t-il de la réalité ? Annales 2007 - Peut-on se passer de l’État ? Annales 2006 - L’intérêt de l’histoire, est-ce d’abord de lutter contre l’oubli ? Annales 2006 - Quel besoin avons-nous de chercher la vérité ? Annales 2005 - Pourquoi voulons-nous être libres ? Annales 2005 - Raisonne-t-on bien quand on veut avoir raison à tout prix ? La cultureLa religion Liste des sujets traités La religion conduit-elle l’homme au-delà de lui-même ? La religion permet-elle à l’homme d’être heureux ? L’homme a-t-il nécessairement besoin de religion ? La philosophie peut-elle parler de la religion ? La relation entre philosophie et religion dans la modernité Est-ce parce qu’ils sont ignorants que les hommes ont des croyances ? Une critique philosophique de la religion Commentaires disponibles Le langage Liste des sujets traités Peut-on parler pour ne rien dire ? En quoi le langage est-il nécessaire à l’homme ? Les paroles engagent-elles autant que les actes ? Serait-il souhaitable que l’humanité parle une seule langue ? Quiconque n’a pas réfléchi sur le langage n’a pas vraiment commencé à philosopher Le langage exprime-t-il notre être ? Commentaires disponibles Le travail et la technique Liste des sujets traités L’homme doit-il travailler pour être humain ? Le travail rend-il l’homme heureux ? Faut-il séparer la science de la technique ? Le travail et la technique sont ils des moyens de civilisations ou de barbarie ? L'art nous est-il plus nécessaire que la technique ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prévention sans répression ? L'art Liste des sujets traités L’art nous détourne-t-il de la réalité ? L’art ne sert-il à rien ? L’art ne s’adresse-t-il qu’à la sensibilité ? Quelle est la raison d’être des artistes ? L’art est-il explicable ? L’art nous détourne-t-il du réel ? Pour avoir du goût, faut-il être cultivé ? L’art est-il une illusion ? L’art, est-ce ce qui ne sert à rien ? Pensez-vous que la société moderne favorise la création artistique ? Quelles sont les règles de l’art ? L'art nous est-il plus nécessaire que la technique ? N'y a t il d'art que dans les musées ? L'art est il une évasion ? Commentaires disponibles L'histoire Liste des sujets traités Y a-t-il une vérité en histoire ? L’histoire nous enseigne-t-elle la relativité de valeurs ? L’histoire a-t-elle un sens ? L’homme peut-il se libérer de l’histoire ? Que nous apprend l’histoire ? Qu'est ce qu'un événement ? Le plaisir est il le moteur de l'histoire ? Devons-nous mémoire ou oubli ? Commentaires disponibles La moraleLa liberté Liste des sujets traités Faut-il opposer liberté morale et liberté politique ? Peut-on renoncer à sa liberté ? Peut-on apprendre à être libre ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la liberté ? L’expression perdre sa liberté a-t-elle un sens ? En quoi peut-on dire que l’homme est libre ? Être libre de penser est-ce penser ce que l’on veut ? Le doute est-il une entrave à la liberté ? Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Comment définir la liberté ? Commentaires disponibles Le devoir Liste des sujets traités La conscience morale n’est-elle que le résultat de l’éducation ? La détermination du bien n’est-elle qu’une affaire d’opinion ? Peut-on connaître la morale ? Est-il immoral de mépriser autrui ? Suffit-il de voir le meilleur pour le suivre ? Puis-je savoir si je suis immoral ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? Devons-nous mémoire ou oubli ? Commentaires disponibles Le bonheur Liste des sujets traités Plaisir et bonheur Faites vous plaisir ! Le bonheur n’est-il qu’une question de chance ? Le bonheur n’est-il pour l’homme qu’un idéal ? La conscience de soi peut-elle rendre l’homme malheureux ? Annales 2017 - Pour trouver le bonheur, faut-il le rechercher ? Commentaires disponibles La politiqueL'Etat Liste des sujets traités L’État peut-il être juste ? Sur quoi la légitimité de l’État se fonde-t-elle ? L’État vise-t-il le bonheur des individus ? Peut-on concevoir une société sans État ? L’Etat doit-il reconnaitre des limites à sa puissance ? e rôle du gouvernement est-il seulement de garantir la liberté ? Le pouvoir doit-il revenir au peuple ? Commentaires disponibles La justice et le droit Liste des sujets traités La compétence donne-t-elle des droits ? Les lois prennent-elles en compte les croyances des individus ? Fonder le droit sur la force ou faire respecter le droit par la force, cela revient-il au même ? Le droit se fonde-t-il sur l’intérêt privé ? Est-il juste d’appliquer systématiquement la loi ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la liberté ? Sur quoi la justice se fonde-t-elle ? La démocratie est-elle la garantie de lois justes ? Peut-on dire d’un homme qu’il est juste ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prévention sans répression ? Vaut-il mieux subir l’injustice ou la commettre ? Les peines qu'inflige une société servent-elles une simple vengeance ? Hugo Grotius, De jure belli ac pacis Commentaires disponibles La société Liste des sujets traités La paix sociale est-elle souhaitable ? Une société n’est-elle qu’un ensemble d’individus vivant sur un même territoire ? Doit-on apprendre à devenir homme ? L’homme est-il un animal politique ? Une société peut-elle renier sa culture ? L’action politique est-elle un travail ? L’homme est-il réductible à sa culture ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? 'La ville est politique' - commentaire La médiation est-elle particulièrement importante dans notre société contemporaine ? Y a-t-il des sociétés plus naturelles que d’autres ? Hugo Grotius, De jure belli ac pacis Le pouvoir doit-il revenir au peuple ? Commentaires disponibles La raison et le réelLa matière et l'esprit Liste des sujets traités Est-il raisonnable de croire en Dieu ? Peut-on croire sans savoir ? Faut-il opposer la croyance et la raison ? Peut-on accorder une valeur à une croyance que l’on ne partage pas ? L’esprit a-t-il accès aux choses ? Vaut-il mieux agir ou penser ? Quelle différence peut-on faire entre la matière et le corps ? Toute passion est-elle déraisonnable ? Que faut-il opposer à la bêtise ? Qu’est-ce qui est premier ? Le Dieu de Kant est-il si différent du Dieu de la métaphysique traditionnelle ? Peut-on connaître l'esprit à travers le corps ? En quoi l’homme fait-il l’espace ? Descartes, Méditations métaphysiques, sixième méditation Commentaires disponibles La vérité Liste des sujets traités Ce qui est flagrant est-il vrai ? Les préjugés détournent-ils toujours du vrai ? Peut-on se délivrer de ses préjugés ? Comment passe-t-on de l’opinion à la connaissance ? Peut-on vraiment être convaincu sans être persuadé ? Dans quelle mesure la méthode peut elle servir de garant de la vérité ? L’objectivité implique-t-elle la neutralité ? Suffit-il, pour être philosophe, de rejeter les opinions ? N’y a-t-il aucune vérité dans le mensonge ? Peut-on dire que les hommes aiment tellement la vérité qu’ils voudraient que ce qu’ils aiment soit vrai ? S’en tenir aux faits, est-ce une garantie d’objectivité ? Faut-il croire la raison ? La science répond elle à un désir de la vérité ? Peut-on démontrer n'importe quoi ? L’opinion est-elle condamnable ? Qu’est-ce que la métaphysique ? Faut-il toujours se contredire ? Commentaires disponibles Le vivant Liste des sujets traités La nature a-t-elle des droits ? La nature fait-elle bien les choses ? Peut-on éviter l’anthropomorphisme ? Ce qui est naturel a-t-il nécessairement de la valeur ? L'interprétation Liste des sujets traités L’interprétation est-elle nécessaire à l’homme ? Nietzsche - Il n'y a pas de faits en soi. Ce qui arrive est un groupe de phénomènes choisis et groupés par un être qui les interprète Théorie et expérience Liste des sujets traités Peut-on penser contre l’expérience ? La science nous apprend-elle ce qu’est le réel ? Devons-nous distinguer deux mondes le monde commun et le monde de la science ? L’homme a-t-il raison de se méfier de la science ? La science fait-elle disparaître les croyances ? La philosophie, est-ce des paroles en l’air ? À quoi sert la philosophie ? La philosophie peut-elle être utile ? Qu’est-ce qui est premier ? Commentaires disponibles Le sujetAutrui Liste des sujets traités Peut-on se fier à l’autorité d’autrui sans tomber dans le préjugé ? Changer, est-ce devenir quelqu’un d’autre ? Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? Autrui est-il mon prochain ? L’homme est-il naturellement bienveillant à l’égard d’autrui ? Une action désintéressée est-elle possible ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? Le corps soutient-il la relation à autrui ? Sans l'autre, je ne suis rien, je n'existe pas, autrui me constitue comme il peut me détruire Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La conscience et l'inconscient Liste des sujets traités La conscience fait-elle de l’homme une exception ? Que peut-on reprocher à celui qui est inconscient ? Avons-nous conscience de notre corps ? La conscience de soi est-elle une connaissance de soi ? La conscience est elle ce qui définit l’homme ? L’idée d’inconscient exclut-elle celle de liberté ? Un sentiment est-il plus difficile à décrire qu'un objet ? Le corps est-il sujet ou objet de ma conscience ? Dans quelle mesure peut-on parler d’une révolution freudienne ? La conscience de soi peut-elle rendre l’homme malheureux ? L'hypothèse de l'inconscient fait-elle mieux comprendre la conscience ? La conscience peut-elle nous tromper ? Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La perception Liste des sujets traités Les apparences sont-elles trompeuses ? Un sentiment est-il plus difficile à décrire qu'un objet ? En quoi l’homme fait-il l’espace ? Commentaires disponibles Le désir Liste des sujets traités Pourquoi désirer ce qui n’est pas nécessaire ? Le désir suppose-t-il la connaissance préalable de son objet ? Est-on fondé à distinguer les bons des mauvais désirs ? Faut-il libérer ses désirs ou se libérer de ses désirs ? Le désir est-il la marque de la misère de l’homme ? Supprimer le naturel, est-ce le but de l’éducation ? Peut-on concilier raison et désir ? Nietzsche, Tout ce qu'on appelle amour Le désir humain peut-il être satisfait ? Commentaires disponibles L'existence et le temps Liste des sujets traités Exister, est-ce profiter de l’instant présent ? Le temps est-il la limite de l’homme ? Dans quelle mesure la conscience intime du temps nous permet-elle d’assigner un sens à notre existence ? L’homme doit-il se résigner à mourir ? Que nous apprend la mort ? Exister, est-ce agir ? Quel sens la mort donne-t-elle à notre vie ? Tout a-t-il une raison d'être ? Faut-il vivre comme si nous ne devions jamais mourir ? Commentaires disponibles ce qu’est croire et la nature raisonnable et rationnelle de l’homme, il semble difficile au même moment , dans une même conscience, de croire en une idée tout en sachant qu’elle n’est pas vraie, c’est-à-dire fausse. En effet, croire, c’est être dans une attitude d’esprit qui affirme avec un degré plus ou moins grand de probabilité la réalité d’une chose ou la vérité d’une idée. Donc pour croire que la terre est ronde , il faut penser que cet énoncé est vrai, donc si je sais que ce n’est pas vrai, je sais que c’est faux , donc je ne peux pas considérer au même moment que c’est faux , et y croire c’est-à-dire croire que c’est vrai. 2. Et c’est d’autant plus difficile à concevoir que le savoir est une connaissance rationnelle obtenue soit par démonstration soit par observation et vérification expérimentale. Le savoir s’oppose à l’opinion qui est soit résultat d’un raisonnement erroné aveuglé par la passion et l’intérêt, par ex. , soit d’une erreur de perception allégorie de la Caverne de Platon, je crois ce que je vois et je me trompe, soit d’une absence de raisonnement je pré-juge avant même d’avoir jugé. Donc normalement le savoir doit l’emporter contre l’opinion et doit avoir plus de force de conviction même si l’opinion peut être très persuasive. Donc si je sais que c’est faux, je ne peux plus y croire , ni être convaincu que c’est vrai car je suis un être rationnel en tant qu’être pensant . Ma rationalité fait que je ne peux pas consciemment préférer l’infondé, l’irrationnel, le faux au démontré, prouvé et vrai. En tant qu’être rationnel, je veux raisonnablement le vrai. Consciemment, je ne peux croire au faux si je sais que c’est faux , car cela reviendrait à se mentir à soi-même OR comme le montre Sartre , cela présupposerait que je sois double une partie sachant le vrai menteuse et une partie ignorante trompée or je suis une seule et même conscience transparente à elle-même. Donc si je crois à ce que je sais ne pas être vrai , c’est en fait soit sans y croire vraiment car je sais que ce n’est pas vrai, soit sans savoir vraiment si c’est vrai dc j’ai un doute dc j’y crois car finalement je ne suis pas sûr qu c’est vrai. Dc soit je sais et je ne peux pas croire le contraire, soit je crois car je ne sais pas. Transition pourtant la mauvaise foi, ça existe même si théoriquement c’est impossible ! , on a vu dans l’histoire de la science des préjugés résister à des preuves Galilée, Copernic, Darwin, alors comment expliquer cette croyance paradoxale, illogique et contraire à la nature de l’homme ? II. Cela s’explique 1. par la nature de l’homme. Il n’est pas simplement un être de raison , c’est aussi un être de désir. Donc si en tant qu’ être rationnel il cherche la vérité, en tant qu’être de désir il cherche le bien-être, le bonheur. Or la vérité peut faire mal et renvoyer à une réalité douloureuse. Et en ce sens il a besoin d’illusion. Comme le dit Freud, une illusion n’est pas la même chose qu’une erreur … Ce qui caractérise l’illusion , c’est d »être dérivée des désirs humains ». Et , il illustre cela par l’illusion religieuse correspondant à un besoin archaïque enfantin de se sentir aimé et protégé contre le monde extérieur injuste et contre soi pulsions du ça qui résiste à l’absence de preuve de l’existence de Dieu ou même à la démonstration par la science de la fausseté de certaines explications divines création du monde, la réalité physiologique de la mort…. Dc le fond de la croyance est d’ordre psychologique détresse, peurs.. ou matérielle souffrance , misère … la religion est l’opium du peuple » pour Marx. Aussi vouloir détromper les hommes c’est attenter à leur bonheur » comme le soulignait Rivarol, d’où la résistance de la croyance face au savoir. 2. par les limites du savoir. A. Ce n’est pas parce que je sais qu’une idée n’est pas vraie qu’elle est pour autant fausse, ce n’est pas parce que je sais qu’une chose n’est pas réelle qu’elle est pour autant irréelle. En effet, si par vrai, j’entends observé et vérifié, l’absence d’observation ne suffit pas pour pouvoir déclarer que la chose n’existe pas ou que l’idée est fausse . Il se peut que la chose n’est pas encore été observée ou échappe à toute observation ex. Dieu est partout donc nulle part visible. Donc je peux croire à ce que je sais ne pas être prouvé car ce n’est pas forcément irréel pour autant. Si par vrai, j’entends non rationnellement démontré, ce qui n’est pas démontré n’est pas non plus forcément faux. Cela peut être au-delà ou en-deçà de toute démonstration. Dieu se sent, selon Pascal, il s’éprouve et ne se prouve pas. Les vérités intuitives du Cœur s’imposent et l’absence de démonstration prouve plus les limites de la raison , son impuissance que la fausseté de ses vérités. Pour Descartes, Dieu c’est la perfection, et l’homme imparfait est incapable de la penser ,cela ne remet pas pour autant en question sa nature, son idée et sa vérité. Donc je peux croire à ce que je sais ne pas être démontré, mais que je sens comme étant vraie. B. Il peut même être rationnel de croire en quelque chose qui n’a pas été prouvé ni démontré le pari de Pascal. C. ce n’est pas parce que je sais qu’une chose n’est pas vraie au sens de vérité absolue et universelle que pour autant cette chose n’est pas digne de confiance et de croyance Une théorie corroborée » n’est pas vraie » au sens de totalement prouvée mais elle est probable et donc je peux y croire comme en quelque chose de possible et de fiable Une théorie n’est pas vraie au sens classique en accord avec les faits, le réel , mais elle peut être vraie » au sens de vérité pragmatique » selon William .James ou de vérité technique » de Bertrand Russell. Et la théorie du non-miracle de Putnam donne des raisons d’y croire avec une certaine confiance. Conclusion Donc aussi illogique et inattendu que cela puisse paraître, je peux croire en ce que je sais ne pas être vrai, vu que l’homme a un besoin d’illusion en tant qu’être de désir , vu les limites de son savoir et vu que ce qui n’est vrai n’est pas forcément faux et donc incroyable pour autant. Peut-être sommes-nous d’ailleurs condamnés à ne croire que ce qu’on sait ne pas être vrai de manière absolue , mais vrai seulement de manière provisoire et pratique.

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